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Michel Drucker va quitter l’animation télé : voici quand !

80 bougies et 60 ans de télé, c'est pas rien. Et pour la première fois, Michel Drucker a dévoilé qu'il raccrochera un jour... et quand il aimerait le faire.

Pour la première fois Michel a dit un mot sur sa retraite. C’était lundi dernier, le 14 août, dans les colonnes de Var-Matin.

Une retraite à l’été 2025

« J’aimerais aller jusqu’à la fin du deuxième mandat de Delphine Ernotte (la présidente de France Télévision, NDLR) (…), après ça serait le bon moment d’arrêter l’animation », a expliqué l’animateur de l’émission Vivement dimanche.

Pour l’heure, son retour à l’antenne est prévu le 27 août sur France 3.

  • Michel Drucker : « Je n’ai qu’un seul regret »

Présidente du groupe France Télévision depuis août 2015, Delphine Ernotte a été reconduite pour un mandat de 5 ans lors de l’été 2020.

« Il va me falloir beaucoup de courage pour débrancher »

Michel Drucker ne cache pas son admiration pour un certain Philippe Bouvard qui, les 90 ans passés, est encore à l’antenne, animé par un métier-passion.

Cela dit, celui dont le contrat court jusqu’en 2024 rappelle qu’il a « toujours voulu ne pas faire le combat de trop et partir au top ». « Il va me falloir beaucoup de courage pour débrancher », avoue-t-il.

Pour la toute première fois, Michel Drucker a donc évoqué une date éventuelle pour son départ du petit écran. Il y a quelques jours encore, il expliquait pourtant « ne pas connaitre le mot ‘retraite’ «  à TV Magazine.

Son retour en télé, il essaie « de ne pas trop y penser »

Entre aujourd’hui et 2025, de l’eau pourrait encore passer sous les ponts. En attendant, le premier enregistrement de la toute nouvelle saison de Vivement dimanche aura lieu le 22 août, au pavillon Gabriel, à Paris.

Michel Drucker « essaie de ne pas trop penser à la première ». L’animateur désormais rétabli de 2 lourdes opérations du coeur sait qu’il va être scruté de près.

« Je sais qu’on va m’observer à la loupe pour voir si je suis gaga ou diminué« . Il reconnait que son « angoisse, c’est la mémoire ». « Mais j’ai l’impression que ça ira. »

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